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Diane Groseille
27 novembre 2006

Inconscient.

Et hier soir, en rentrant, sur l'autoroute,
nous avons doublé un cycliste, dans la nuit noire,
qui pédalait en danseuse dans la lumière des phares,
au bruit des klaxons surpris.

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18 novembre 2006

Quoi que.

Plus de six cents messages sur ce blog.
Bonne chance à ceux qui se lancent dans les archives.
Mise à jour aujourd'hui des liens, une petite balade s'impose.
L'autre jour avec Neb, on a retrouvé des pages de "Diane Groseille" telle qu'elle était en 2004.
Etrange, fade et timide.
Mais j'ai pas tellement changé.

18 novembre 2006

Une découverte.

Nan, la découverte, c'est pas Coldplay, vous pensez bien. Diane est contente parce que Madame pas contente a montré sur son blog comment on met de la musique. Maintenant qu'elle sait ça, Diane Groseille va s'en donner à coeur joie...

13 novembre 2006

Et sinon...

  • Hier soir, j'ai vu une femme en manteau de fourrure, à quatre pattes dans la rue, en train de vomir des boyaux.
  • Cette année, j'aime presque l'automne.
  • Les yeux de Boucle d'or hier, plus loin, grâce à moi.
  • Mickaël, que j'ai eu en classe tout l'après-m', a beau avoir vingt-cinq ans, c'est un petit con.
  • Le matin, le ciel sur ma gauche quand je vais à M. est magnifique, surtout les petits clochés qui se dessinent en contre-jour.
  • Les images de la Martinique s'effacent petit à petit, entrant dans une virtualité chaude et humide.
  • Et même que je m'en sors niveau fric.
  • Ma soeur me sort par les trous de nez.
  • Première page de canalblog = trois cents visiteurs un jour, quelques dizaines le lendemain.
  • Lucien jappe comme un grand chien.
  • J'aime Neb, le matin et le soir, même quand il râle, même quand il ronfle, même quand il fait semblant de m'écouter.
  • Et vous ?
3 novembre 2006

Cinq heures plus loin et des poussières de coquillage.

Revenue ce matin.
Maintenant déjà il fait nuit alors que là-bas et dans ma tête il est encore dix sept heures, plein de soleil et de moiteur.
Le dos en compote, de la lumière plein les yeux et tellement froid dans cet hiver qui s'est installé pendant notre absence.
Je prendrai le temps de conter tout ça,
plus tard, après avoir vidé ma valise,
après avoir dormi.


[ Bonne nouvelle : nous signons la semaine prochaine pour l'appartement ]

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18 octobre 2006

Fluidité.

Il y a denouveau les tableaux noirs. La craie qui vient fondre sur la surface verte, s'écraser tendrement. Les lettres qui tournent comme tant d'arabesques. Les mains blanchies et moites qui viennent se frotter au pantalon. Petite satisfaction du quotidien. Mes salles de classes sont des scènes de théâtre. Une complicité, un partage se met doucement en place. J'aime. Je découvre de nouvelles personnes. Ils ont tous tant à m'apporter.

4 octobre 2006

Ce que je n'arrive pas à définir. Ailleurs que les mots.

Elle dit atmosphère, mais ce n'est sans doute pas le mot juste, je parlerais d'univers, de couleurs, de lumières. Toujours et encore la lumière, aussi importante que les mots, plus peut-être. Alors il faut le prendre, le percevoir, le laisser filtrer en soi par chaque pore, le respirer... ça on peut le dire, le "comment", mais pas le "parce que". La quintessence, ce qui traverse, éphémère, ça ne se dit pas, c'est trop personnel, trop fluide, impalpable, pas de rugosité, pas de relief auquel se raccrocher. C'est comme l'huile d'ambre d'un violon, la candeur de celle qui colle les feuilles d'or derrière la vitre, les lignes blanches trop rapides sur la route, la voix du bout du fil qui grésille, les larmes qui font qu'on existe toujours, le vent d'automne, la langueur monotone. Cette année l'automne est doux sur ma peau, j'aime bien. Un univers nouveau.

18 septembre 2006

Lu.

Le plus beau chien du monde ? On parle de lui par ici.

17 septembre 2006

Pavillon.

J'ai de l'excema dans les oreilles.
La gauche et la droite.
Je sais, c'est ridicule, mais c'est surtout très désagréable.
Et, en toute logique, je me dis que c'est forcément dû
à toutes les conneries que j'entends à longueur de journée.

12 septembre 2006

Fragile et précieuse.

Pourquoi certaines personnes ont besoin d'être confrontées à la mort pour aimer la vie ?
Elle n'attend pas, elle vibre chaque instant.

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