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Diane Groseille
28 avril 2005

Arrêt sur image.

24926 visiteurs. 254eme post. Onze mois. Presque 200 commentaires. Je ne pourrais pas dire combien de mots...
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22 avril 2005

Et je me fais mon printemps.

La météo se fout de nous. Voilà le week-end, avec ses promesses de soleil et de sorties, et parait qu'il va encore nous faire faux bond. Non, ce blog ne va pas devenir un site "météofrance bis". Juste pour dire que j'ai trouvé malgré tout mon petit bonheur. Du soleil en pots. J'ai planté il y a quelques jours quelques graines de plantes aromatiques: thym, sarriette, basilic, menthe, persil, ciboulette. Dans de jolis pots en terre cuite sur lesquels sont inscrits leurs noms en lettres blanches. Elles pointent le bout de leurs nez. De petites pousses vert tendre qui luttent contre la gravité mais semblent encore si fragiles. Chaque matin, au réveil, je me précipite sur les bords de fenêtres pour admirer et m'extasier devant leurs évolutions. Je sais pas pourquoi, quand je les vois, je pousse des petits cris de ravissement, pas consciente du tout du degré de ridicule que je peux atteindre... En attendant, ça me fait du bien...

21 avril 2005

J'attends le printemps...

J'attends cette petite vibration à l'intérieur parce qu'enfin on respire, j'attends les parfums entêtants des fleurs fraîches, j'attends le soleil qui chauffe la peau et réchauffe le dedans, les longues promenades en forêt, les terrasses en sortant du boulot, les flâneries... Mais pour le moment rien. En avril, ne te découvre pas d'un fil. Alors, comme la renaissance annuelle n'arrive pas, mon job me gonfle, j'ai envie de dormir tout le temps, c'est le come back de la marmotte...

19 avril 2005

Bavardages.

Il nous dit ouvertement qu'il ne comprend pas pourquoi nous pourrions avoir peur, qu'il ne faut pas voir peur. Bien sur, il a raison, pourquoi être si alarmiste, les djeun's? Il n'y a que 10 % de chômage pour le moment et même si ça augmente, ça ne devrait affoler personne, puis pour ce qui est de nos études, de notre futur, de l'économie française, n'en venons pas à provoquer "une tempête dans un verre d'eau". De toute façon, la planète se chargera peut-être de nous avant non? A moins que quelqu'un de bien pensant ne s'occupe de faire de grandes promesses et de grands discours avant...

Sinon, je trouve que Maria Carrey est particulièrement moche.

Et si un feu se déclarait dans le vatican, la fumée serait blanche ou noire?

Les gens n'écoutent pas ce qu'on leur dit. Je suis peut-être aussi un "gens" dans ce cas là, mais c'est profondément énervant. Comme la soeur qui a tendance à appeler les derniers temps pour "raconter" (la dernière, une bien bonne ou encore la meilleure) et qui ne se soucie pas forcément de savoir si je me porte bien... Ou encore Monsieur P. au taf, dont je connais toutes les activités extra-professionnelles (j'ai même déjà pu tâter la canne à pêche) et qui ne sait presque rien de moi... Ceci dit, je les adore ces gens là, même quand ils s'écoutent parler.

Mon frère invite sa copine à un concert de U2 dans le Sud pour ces 18 ans. La Grande Classe.

Message sur mon répondeur l'autre soir. Un ex. De courte durée (l'ex, pas le message). Une erreur. Mauvais calcul, mauvaise appréciation. Droit dans le mur. Bref. L'ex me propose une colo. V'là deux ans que j'ai pas mis les voiles sur un camp. Puis la proposition ne s'arrète pas là. C'est que c'est allèchant. Il s'agit d'une tournée des festivals de France au mois de juillet, avec un petit groupe de 15-18 ans. Le seul hic, c'est l'ex (Notez, jolie consonance de phrase). Tant pour moi (j'ai si peu apprécié ce que j'ai découvert en lui, le calculateur qui joue le rôle de celui qu'on attendait) que pour Neb homme de moi (je conçois très bien que l'éventualité ne l'enchante pas).

Je pense à cette nana qui a foutu le feu dans cet hôtel parisien, je pense à ce qui a dû se passer dans sa tête les heures qui ont suivies.

Le Furet est papa. Un petit garçon avec un prénom aux sonorités grisâtres. Ils ont cherché l'originalité. J'ai encore du mal (avec le prénom). Mais il est papa. Encore un peu difficile à concevoir. Il faudra le voir pour vraiment réaliser. Celui avec qui j'ai partagé cinq ans de vie. Mais ce n'est pas douloureux ou dérangeant, je suis même profondément heureuse pour lui.

15 avril 2005

Je l'ai retrouvé...

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Le responsable de ma journée de bonne humeur, comme quoi ça tient à pas grand chose...

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15 avril 2005

Brushing.

Ce matin, j'ai croisé dans la rue un lion qui semblait sortir d'un épisode de Dallas, je remercie le publicitaire pour le fou-rire qui a suivi.

8 avril 2005

Nostalgie?

La grisaille mais le printemps. Au boulot. Inspectée hier matin: que du positif, ou presque (quelques formulations trop abstraites dans ma progression, mais pour ce qui est de la gestion de mes cours, j'ai eu droit à des fleurs virtuelles).

Aujourd'hui, c'est ma fête. Oui, je me cache derrière un pseudo depuis presque un an. Ce n'est pas pour autant que je n'ai pas été sincère. Rares sont les lecteurs qui traînent encore par ici les derniers temps, Julien le Brésilien l'a bien remarqué, mais je n'y suis plus, donc il n'y a plus grand chose à voir. Ceci dit, au risque de surprendre, de me surprendre, je partais il y a un an avec un rapport à moi-même, une écriture très personnelle qui n'attendait rien de l'autre. Aujourd'hui, le fait d'avoir tant de monde autour, tellement de blogs, trop de lecteurs qui errent, comme ivres, sur la toile, à la recherche de plus grand chose ne me tente plus. Et je réalise que L'autre avait quand même son importance. L'autre en tant que lecteur intéressé et intéressant. Aujourd'hui, le lecteur de blog est comme ces toxicomanes de la télé, il zappe ou il scotche, il lui faut du gore, du trash, de l'indécence ou du vulgaire. Alors j'écris pour moi, mais ailleurs, ce qui ne signifie pas que je n'ai plus ma ferveur du début, simplement elle ne se manifeste plus forcément ici... Et sans doute que j'y reviendrai...

2 avril 2005

Premières fraises

Je viens ici presque en "touriste", comme si j'étais plus vraiment chez moi. Des personnes doivent lire, de temps en temps, venir ici, entrer comme on entre dans un lieu déserté.  Je suis partie en vacances et j'ai laissé la clé sous la paillasson pour que tout le monde puisse entrer. Ceci dit, y'a plus grand chose à voir, plus grand chose à lire. Diane se montre fainéante, elle se dore la pilule.

Retour d'Ardèche. Du fromage de chèvre, des saucissons et des jolis cailloux pleins les poches, des souvenirs, du soleil et du grand air plein la tête.  Des envies oubliées qui resurgissent. On a vadrouillé depuis les Alpes à travers la France, ses marchés, ses chambres d'hôtes et ses petits restaus. Des plaisirs simples. Beaucoup de calme. De plus en plus, je sais que c'est ce que je recherche. La simplicité et le calme. La solitude aussi.

ENTRE DEUX BOLS DE FRAISES. CHEZ LES PARENTS. SOLEIL.

P.S.: Mais où est passé Pancake?

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Diane Groseille
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