26 mai 2006
Happy B.
Voili, voilà, passé le cap des deux ans.
Le blog a toujours autant d'importance pour moi.
Un repère/repaire, une échappatoire, un exutoire.
Un petit nid douillet où j'arrive de plus en plus à être moi-même.
Un miroir qui essaye tant bien que mal de faire abstraction du regard des autres.
Et pourtant sans ce regard, Diane Groseille n'existerait pas.
Je me demande ce qu'il en sera dans un an, dans dix ans.
La mode bloguesque sera évaporée,
avec celle du coiffé-décoiffé, celle des chaussures pointues, celle des "quoi" en fin de phrases.
Et je serai peut-être toujours là, parce que pour moi, ça n'a rien d'un phénomène de mode.
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