2 décembre 2005
Je ne reconnais plus personne.
Compteur bloqué aux alentours de 200, je regarde en face, j'ai plus le temps de regarder le paysage, il n'y a plus que ces images éblouissantes qui restent devant mes yeux. Quatrième dimension. J'ai l'impression que chaque journée est collée à la suivante, les nuits n'ont plus de valeur, il me faut du repos. Faut dire que cette semaine en particulier est à classer dans les extrêmes (explication plus tard). Alors je garde le pied au plancher, si je ralentis, j'ai peur de caler.
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