Trois, deux, un...
Réveillée depuis moins vingt
Je suis joyeuse et pleine d'entrain :
Il ne me reste que ce matin,
Trois heures de cours, ce n'est presque rien
Puisque pour nous , youpi, demain
C'est merveilleux d'être Alsacien.
Réveillée depuis moins vingt
Je suis joyeuse et pleine d'entrain :
Il ne me reste que ce matin,
Trois heures de cours, ce n'est presque rien
Puisque pour nous , youpi, demain
C'est merveilleux d'être Alsacien.
Les places sont réservées:
je serai au festival Rock en Seine les 26 et 27 août.
Radiohead ne m'échapera pas.
Quelques nouveautés. Petit dépoussièrage de printemps qui s'impose. J'ai commencé par rajouter quelques photos dans mes albums et je vais m'empresser de faire un tri dans mes liens dont on me me signale que certains ne sont plus valides.
J'en rajoute un au passage. Un petit nouveau qui se lance dans l'univers blogesque de canalblog, avec des mots chargés de sensualité. Il fait preuve de courage aussi, pour se lancer dans ce monde maintenant saturé. Diane Groseille avait nettement moins de mérite à ses débuts. A suivre de près.
Puis je lance une nouvelle catégorie que j'intitule "Dixit". Pour toutes ces phrases de mon quotidien qui tombent dans l'oubli et qui méritent pourtant leur petite minute de gloire. Premier exemplaire de la catégorie à paraître avant la fin de la journée si la forêt ne me retient pas trop longtemps dans ces branchages bourgeonnants.
Un jour, j'aimerais pouvoir m'assoir
dans le fond d'une salle de classe,
près d'un radiateur bien chaud,
à la fenêtre bien entendu
...
Pour assister à un de mes cours, une heure ou deux,
juste pour voir ce que ça donne
quand on est de l'autre côté du bureau.
... Qui fera que ce lundi, sensiblement identique à lundi dernier, me semble merveilleux, un peu magique. Alors qu'il y a quelques jours à peine, ce filtre gris devant mes yeux teintait mon champ de vision. Aujourd'hui, un rayon de solail et voilà les projets qui refont surface, la confiance en moi qui me gonfle, et presque je me trouverais jolie, et bientôt c'est le printemps, je suis libre et j'ai envie... Putain d'hormones, je m'emballe encore. Ces hauts, ces bas incontrolables que je déteste, font de moi une marionette qui ne sait sur quel pied danser.