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Diane Groseille
3 avril 2006

Inintelligible.

Je suis assise là, j'enroule mes cheveux autour de mon doigt. Rayons de soleil derrière moi. Pas assez de temps devant moi pour commencer quelque chose d'utile et d'intelligent. Trop de temps pour avoir juste le temps de m'assoir ici et de ne rien faire. J'absorbe du sucre. Faudrait pas, chocolat poulain, argument "bonne humeur", moelleux framboise-pomme, barre céréales nois de coco.  Mon nouveau jean est trop taille basse (ne pas voir de rapport de cause à effet avec le sucre). J'ai passé ma journée à tirer dessus pour qu'on ne voit pas le haut de mes fesses. Ou à tirer sur mon pull dans l'autre sens. J'ai des péoccupations de fashion victime, de jeune donzelle.

branchages

Autre péoccupation : je croise les doigts pour que Radiohead donne quelques dates de concert en France. J'irai même si je dois y aller en rampant. Sinon, faudra se rabattre sur les autres dates européennes.

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Commentaires
D
Bien vu Claire, je ne m'étais pas attardée sur ce détail qui fait toute la différence.<br /> Timbre, je vais suivre tes bons conseils pour apaiser mon impatience. <br /> Et oui, vive le printemps, même si je ne vois pas trop le rapport.
T
Préoccupations... malgré le titre et l'aspect apparent, je ressens toujours un peu de ... de Diane dans ce texte. Pour de ce qui est de Thom, eh bien, en attendant, au cas où ce serait trop difficle comme attente justement, plutot que de tirer sur ton pull, découvre (si ce n'est dejà fait) le frangin Andy, ou christopher le pianiste, ou encore, dans un style différent le groupe à Jonathan, hitoire d'attendre en se faisant plaisir.
C
Mais non, les fashion victims tirent le jean vers le bas et le pull vers le haut...
T
vivement le printemps
Diane Groseille
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