10 octobre 2005
Point.
Plus de grasse matinée avant un moment. Le week-end prochain n'existe pas et c'est donc une double semaine que je commence là. Multiplier par deux les efforts et la fatigue. Puis le vrai rythme commence et ça me contente. Le rythme qui va m'essouffler pendant les deux saisons à venir. Ce soir, les premiers cours de langue. Appréhension: est-ce que ça saura me plaire ? Le violon déborde déjà sur la semaine puisque les samedis matins sont contrariés. Deux belles journées viennent de passer et il faudra se raccrocher à elles, à leur lumière et leur douceur pour trouver du courage les matins difficiles et noirs...
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