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Diane Groseille
10 septembre 2005

Petite boule dans mon ventre.

Non, je ne suis pas enceinte. Enfin, pas à ma connaissance. Il y a simplement une petite boule d'appréhension qui se roule dans mon ventre depuis hier soir, puisque ce matin se joue pour moi une nouvelle rentrée. Encore. Différente cette fois puisque je prends la place de l'élève. Elève particulière avec un morceau de bois sous le menton et des poils de chevaux dans la main droite. Allez comprendre!

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9 septembre 2005

Matin vert...

transparence

8 septembre 2005

Plus tard.

Deuxième semaine déjà (presque) bouclée. Je compte les jours comme un fumeur qui aurait réussi à se séparer de la cigarette. Puis viendra un moment où je ne compterai plus. La machine sera vraiment lancée. Difficile de se dire que c'est "pour de vrai" avec ses relents de grandes vacances. Difficile de se dire qu'on est parti pour plusieurs mois. Le soleil qui nous nargue donne à ce mois de septembre des couleurs de juin. Et je me sens frustrée de passer chaque minute de douce chaleur devant un tableau blanc, alors que j'aimerais me vautrer dans un pré ou m'évader encore sur mon vélo noir. J'appréhende tellement cet automne qui va nous priver de chaleur et de lumière, qui va nous anésthésier les sensations, qui va nous ancrer dans la routine et anéantir notre motivation. J'ai peur de cette nuit qui va se faire omniprésente.

Filer dehors avant que le soleil ne se couche.

8 septembre 2005

Poirier.


Et la marine va papa venir à Malte.

???

8 septembre 2005

Strüdi.

Petite pensée pour Whawha, loin de moi depuis plusieurs mois déjà. Je veux croire que dans le paradis des chiens il y a plein de balles de tennis et de schmacks. Toujours ces images devant mes yeux.
Tu restes là.
nina_web

 

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6 septembre 2005

Le Pooh.

Soirée chez elle hier. Que c'est bon d'être à ses côtés. Je suis heureuse de la voir aller mieux ces derniers temps. Sa solitude lui est toujours douloureuse, mais elle se bat avec son sens de l'humour. Mon Pooh vit sur une autre planète: l'univers des princes charmants, des mariages somptueux, de la dentelle, des épisodes de friends et de la forêt des Rêves bleus. Dans son monde, chaque chose doit être parfaite et surprenante, tout doit s'imbriquer parfaitement dans une sorte de quotidien  romantique millimètré. Le Pooh connaît donc régulièrement des contrariétés. Parce que son monde n'est pas forcément compatible avec le vrai monde. Alors elle saute de l'un à l'autre, comme une gamine qui sauterait sur une marelle. Elle est émouvante, d'y croire toujours, de s'accrocher à son destin qui sera comme elle le rêve. Finalement, le Pooh veut juste être heureuse, être aimée, avoir droit à sa part de bonheur et elle a tellement raison d'y croire.

Lumière jaune dehors. Il y a eu de l'orage cette nuit. Le Pooh m'a annoncé hier soir sans le savoir une grande nouvelle. Elle me parlait d'une de ses collègues qui était tombée folle amoureuse d'un type marié. Ses yeux brillaient quand elle me disait à quel point cette relation semblait fougueuse. Puis elle me parle de l'infidèle. Elle me dit où il vit, où il travaille me demandant bien entendu la plus grande discrétion. Je reconnais le portrait de F., mais ce n'est pas possible puisque lui et sa femme filent le parfait amour depuis le lycée. Je les ai connus en centre de vacances il y a des années. Ils ont été pour moi des référents alors que j'étais toute jeune. Référents dans le domaine de l'animation, mais aussi modèles pour ma vie sentimentale à venir: une telle complicité, la facilité de se comprendre, la tendresse, le partage. Alors hier soir, il a fallu que je sache. Elle a laché le prénom, oui, c'est lui. La nouvelle me laisse un goût amer dans la bouche, comme si c'est moi-même qu'il avait trahie.

5 septembre 2005

Le miracle de la clé.

porteElle est avec moi tous les jours: la clé. Je l'ai découverte il y a deux ans à peine, après une longue discussion avec un sage qui m'en vantait les mérites. D'abord un peu rétiscente et méfiante face à tant de facilité, j'ai fini par céder à la tentation et je me suis présentée au chaland qui m'a fait passer une épreuve très simple pour l'obtenir: un code à composer sur un boîtier. Et quel bonheur que de l'avoir toujours maintenant avec moi. Je ne pourrais plus m'en passer. Je sens sa présence dans ma besace, rassurante.

Parfois, dans la journée, je la fais glisser entre mes doigts, en parlant à d'autres personnes, sentant sous ma peau sa froideur. Toujours consciente de son incroyable pouvoir et de ma dépendance, je veille à en prendre grand soin et à la conserver toujours près de moi. C'est une arme merveilleuse et terriblement facile à manier.

Elle décuple ma force et me permet de valoriser mes savoirs et d'amplifier mes connaissances. Elle offre également la possibilité de dégainer l'arme de tranquilité au dernier moment face aux peuples turbulents et difficiles à maîtriser. Avec elle, je me sens toujours légère et prète pour les journées qui s'annoncent les plus difficiles. Je peux affronter les imprévus et faire preuve d'audace. Elle est ma force et mon courage. Elle m'est devenue indispensable, sans elle je serais perdue. Vive ma clé USB.

5 septembre 2005

Rien.

Rien à dire, si ce n'est cette non-envie déjà trop présente de ne pas aller à l'école. Puis autrement, tout va bien. Et ça, faut le dire aussi de temps en temps. Tout va bien.

4 septembre 2005

La prairie.

Déjeuner sur l'herbe. Repas de graines avec les parents. De la musique et des farandoles de danse sur fond d'accordéon. Le groupe du frérot aussi sur scène. J'ai beaucoup aimé. Agréable dimanche midi. Et déjà la fin du week-end. Deux jours teintés de couleurs et de saveurs fruitées. Douceur malgré quelques prises de bec (de plus en plus fréquentes, parce que, parce que, parce que...). Ce soir encore une balade à vélo pour essayer de capturer un coucher de soleil.

Pas de pression. Peut-être même pas assez pour un démarrage. Une nouvelle alternance qui s'annonce. Encore de nouvelles têtes demain, comme une nouvelle rentrée, une deuxième vague. On la joue serré, on sait ce qu'on veut, c'est la troisième année ici, et il y en avait déjà quelques unes avant, alors maintenant, on sait où aller, comment mener la troupe.

Sinon, ça chiale à la Star Ac. Camille Laurens me plaît. J'écoute les albums de Keane et de James Blunt en boucle et j'ai chopé des places pour Coldplay en Allemagne (coeur de midinette qui prend le dessus). Voilà pour les aveux.

4 septembre 2005

Mise à jour.

Après avoir introduit dans ma liste de préférences les blogs coquins, je rajoute une catégorie de blogs gourmands. Mes sens me perdront.

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