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Diane Groseille
2 juin 2005

Journée.

      

Un Mercredi. Twenty one.

briques_anciennes_53

 

  1. Réveil six heures avec ce titre dont je ne me souviens jamais le nom, mais j'ai l'impression que c'est le même tous les matins. Vive NRJ
  2. Douche trop chaude
  3. Corrections de copies pour la forme
  4. Vélo jusqu'au boulot dans la fraîcheur du matin et je remarque qu'il y a des mésanges partout
  5. Encore corrections avant la sonnerie: rentabilité
  6. Premier cours: RAS
  7. Deuxième puis troisième cours: impression d'être pète-sec dans le vide
  8. Retour-maison pour manger vite fait
  9. Re-vélo
  10. C'est là que ça se gâte
  11. Et plus vraiment envie, "mais qui a encore envie à ce stade là"
  12. Quatrième cours, sont chiants, juste un peu, ça permettra d'établir un contraste évident par la suite
  13. Récrée minable: deux minutes cinquante et une chrono, pas le temps de faire pipi à cause des photocops' pour le groupe suivant
  14. Cinquième cours. LE groupe suivant: tout un poème. Se sont battus pendant la récrée. Nicolas qui s'est faché avec Charlotte (son ex) parce que maintenant il sort avec sa demi-soeur, ou un scénario dans le genre (z'ont une vingtaine d'années quand même les gens!). La miss vole contre un mur et se racle tout l'avant bras. Ils terminent dans le bureau de Tête de brique puis, tout penauds, devant le mien, pour finir par me foutre un dawa d'enfer dans le cours puisque les règlements de compte ne pouvaient logiquement pas s'arrèter là.
  15. Fin de la journée en matière de cours... Ouf
  16. R. et P. et H. et moi nous retrouvons sur la fameuse terrasse, en plein soleil, face à une mousse très fraîche qui vient nous féliciter pour notre patience
  17. Neb homme de moi rejoint le mouvement
  18. Quelques mousses plus tard, je reprends mon vélo pour rentrer. En descendant le vélo à la cave, je m'étale dans les éscaliers. Aïe. Et mes mains toutes sales, pleines de poussières et toutes froides. Le vélo sur moi.
  19. On se dépêche, parce qu'il faut aller voir ce film. PAPA. Je laisse mes talons. Je me glisse dans mes sandales. Et ça valait le coup de se dépêcher... J'ai des larmes dans les yeux souvent et je ris, beaucoup. A la fin du film, j'ai perdu mes sandales, elles ont glissé sous le sièges de devant.
  20. De retour à la maison. Les fenêtres sont ouvertes parce que la chaleur de la journée est étouffante. Bêtement, on allume la télé, comme une pause, et on tombe sur cette série "Clara Beller", "Sarah Keller", "Laura Kieffer"? A vrai dire, je m'en fous, mais je trouve ça pitoyable. Dites-moi que les femmes ne s'identifient pas à ça. La pauvre pimbèche trentenaire qui pense que sa vie ne sera qu'un échec tant qu'elle n'aura pas trouvé L'homme (je pensais qu'on en avait fini avec ce connard de Prince Charmant) qui leur fera un bébé (parce que tant que ces connes n'auront pas de bébé, elles ne seront pas de vraies femmes). C'est pas la réalité ça. Ou alors pour les pincées du cul parisiennes  qui tiennent  à tout prix à rentrer dans ce moule de Briget Johns. La phrase que je retiens de cette demoiselle qui joue la fameuse Clara-Sarah-Laura "je me rends compte que le couple parfait n'éxiste pas". Bravo ma grande. T'auras fallu combien d'épisodes pour en arriver à cette conclusion. Mon Neb homme de moi et moi, on le sait depuis toujours.
  21. Alors, comme c'était ridicule, je suis montée me coucher et je me suis endormie sur "La nostalgie de l'ange". Je sais plus de qui est le livre, mais je vais le retrouver tout de suite pour m'endormir sans aucun doute dessus.
Good Song ou Sweet Song, Blur in Think Tank.
blur

 

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Diane Groseille
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